Les peurs se nourrissent de notre frilosité, de notre immobilisme.
C'est lorsque nous décidons de bouger pour les affronter que nous nous sentons réellement vivants. Qu'importe que nous sortions triomphants ou pas de ce mouvement. L'essentiel reste l'impulsion
première.
Chaque pas est déjà une victoire personnelle.
A chaque avancée, nous nous apprivoisons avec une part de nous mêmes.
La peur de l'inconnu et voilà que nous le découvrons...
La peur d'être seul et voilà que nous nous rencontrons...
La peur du vide et voilà que nous nous rendons plus disponibles....
La peur du silence et voilà que nous nous entendons...et que nous entendons de nouvelles voix...
La peur du désamour et voilà que nous nous rendons plus "aimables"...
La peur de la maladie et voilà que nous nous découvrons des ressources insoupçonnées et que nous recevons des aides inattendues...
Chaque pas est ainsi un progrès.
Laurence
Pour l'Association AFCÂME